Le Makila ou l’emblème honorifique du Pays Basque
un cadeau qui marque toute une vie
la tradition du Makila, qui veut dire « bâton » en langue basque
Il est aujourd’hui essentiellement un objet de distinction, une oeuvre d’art, un « objet » symbolique au pays basque. Il faisait office depuis le moyen-age de bâton de marche, d’ aiguillon de berger mais c’était aussi une arme de défense grâce à sa pointe en acier forgé dissimulée dans le pommeau.
- Le bas du makila est équipé d’une virole savamment décorée et il se termine toujours par un puissant trèfle pointu qui assure une bonne accroche dans les sols des montagnes.
- En haut du Makila, traditionnellement une devise personnalisée est inscrite sur la virole, choisie soit par le futur propriétaire de cette pièce de collection, soit par la personne qui va faire ce cadeau.
- Le bâton est toujours en néflier
- Le pommeau en corne noire et le haut du Makila a rituellement un laçage et une dragonne en cuir noir
Les acquérir : Les prix varient de 280€ (en laiton) à 1000€ (en argent massif)…
– UNE TRADITION CONFECTIONNE AVEC UN SAVOIR FAIRE HORS PAIR, entre autre, AUX COUTELIERS BASQUES A BIDART.
C’est La Maison de référence qui saura vous combler. Elle n’a pas 100 ans mais suffisemment de printemps pour avoir acquis un savoir-faire bien présent avec la touche contemporaine qui fait la différence. L’accueil y est incomparable, ils ont un amour profond pour leur métier et ils sauront être à votre écoute.
– Vous pouvez aussi vous adresser à l’atelier de fabrication centenaire de makhila Ainciart Bergara à Larressore dans le pays basque (Le makhila Ainciart Bergara a été inscrit à l’inventaire des Métiers d’Art Rares au titre de la convention pour la conservation du Patrimoine Culturel Immatériel.). La mention « Cent ans et Plus » atteste que l’atelier a plus de 100 ans d’existence, avec Le label EPV, la marque de reconnaissance du ministère chargé de l’Économie qui distingue les entreprises françaises aux savoir-faire d’excellence.
Jean Ainciart (1862-1932) obtient une médaille d’or à l’Exposition Universelle de Paris de 1889 . En 1936, lors de l’Exposition nationale du travail à Paris, Jean Bergara reçoit le titre d’un des Meilleurs Ouvriers de France en tant que fabricant de cannes basques Makila. Un an plus tard, il participe à l’Exposition Universelle de Paris et remporte deux médailles.
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